Le merle noir

Si l’on veut de bons légumes et que l’on peut jardiner, il est temps de bêcher !
La bêche affutée, un bon fumier, on trace les rangs et on croise les doigts.
Photographier et jardiner, ça peut paraitre être une mauvaise association, pas très « conventionnelle ni cool », mais comment résister de sortir l’apn ?
C’est aussi bête que ça et vous allez constater que l’on peut y voir des choses intéressantes.

Ailleurs, cigogne et ficaires


Malgré le temps couvert caractéristique de mars, une grande cigogne vole par un début de printemps frais.


Dès qu’une éclaircie se présente, on constate que les ficaires, une des premières fleurs sauvages, sont au rendez-vous.


Les plus réjouis par le printemps, ce sont les oiseaux, ça s’entend et c’est toujours très agréable.

Le merle noir


Le jardinier à un spectateur qui semble intéressé.


Évidemment quand on retourne la terre, les vers de terre sont beaucoup moins cachés.


Parce que le monsieur merle noir, il a des bouches à nourrir, qui ne doivent pas être très loin.

Les bébés musaraignes

Ils ont échappé de peu aux fourches de ma bêche, heureusement que j’ai l’ouïe attentive, un petit déplacement minutieux s’impose.

Voilà, de nouveaux petits êtres vont apparaitre, le changement permanent, c’est là le plus puissant pouvoir des dures lois de la nature. La connexion ? le retour à la terre. Et ça, on l’a toujours su. À bientôt !

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  1. Hello-hello!!
    Ca sent bon la terre et le printemps chez toi, c’est sérieux là!!!
    Trop mimi ton copain tout noir!
    J’espère que ces bébés musaraignes ne seront pas abandonnés par la maman, ce serait dommage!
    C’est vrai que l’on peut observer beaucoup de chose plié le nez au sol, suis étonnée que le Rouge-gorge ne se soit pas manifesté!!!
    Un joli post!
    Bizzz et à bientôt 🙂

  2. Le rouge gorge n’est pas là ces derniers temps mais il était bien présent plusieurs semaines avant, c’est lui qui m’a donné l’idée d’avoir l’apn à porté de main.
    J’avais vu la maman musaraigne avant d’entendre les petits alors j’avais une idée du chemin qu’elle risquait d’emprunter, c’est là que j’ai caché les petits, je pouvais pas surveiller ça de près mais le lendemain matin il n’y avait plus rien avec aucun signe de prédation, j’espère qu’elle a pu transporter les petits dans un autre nid !
    Bizz 🙂

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