Il est toujours frustrant de n’avoir pu penser à quelque chose lorsque la situation se prêtait à une étincelle de conscience, et la pensée est souvent absente ou séquestrée.
Être en phase avec la nature comme on peut l’entendre, revient le plus souvent à affirmer son statut de prédateur et ce n’est pas vraiment louable, puisque nous pouvons penser autant nous servir de cette faculté à bon escient afin même pourquoi pas libérer la pensée.
Parfois la pensée entrave l’instantané et d’autres fois le transcende, ce n’est pas une panacée, mais nous chercherons toujours à nous repenser.
La pensée des champs vous observe. Une scabieuse des champs nous prouve qu’une fleur une fois fanée est parfois encore digne d’intérêt.
Libellule déprimée, mais au bord de l’eau beaucoup moins. A droite, des bourgeons, en correspondance.
Le Sympetre rouge s’offre un portrait. Et la coccinelle vous salue.
Bonus audio sur Arte Radio, penser soi avec une relaxation ou penser l’esprit de l’eau.