Les sentiers de l’automne
Quand la première nécessité reste finalement, de vivre.
Notre agitation, suspendue, est alors limitée.
Mais retrouver la simplicité, dans la proximité, reste toujours à notre portée.
Champignons des prés ou des bois, en proxy ou macro.
Quand la première nécessité reste finalement, de vivre.
Notre agitation, suspendue, est alors limitée.
Mais retrouver la simplicité, dans la proximité, reste toujours à notre portée.
De bois sombres et perdus,
En forêt lumineuse et décorée;
La jonquille éblouie et transforme,
Et promet la générosité.
Le soleil d’automne,
Révèle une bonne mousse,
Tous lèvent leurs chapeaux.
Un sylphe dit : Santé !