Le chemin du premier jour est un rêve pour beaucoup, un joyau intemporel auquel on accèderait qu’au prix d’efforts considérables.
Et c’est parfois bien le cas tant notre époque moderne est difficile et compliquée.
En effet cette vie-là que nous partageons tous, faite de tâches et d’environnements artificiels prête le flanc à de multiples évènements susceptibles de perturber le bon fonctionnement de notre cerveau comme de notre nature.
Ce cerveau même qui nous permet pourtant de parcourir de grands chemins.
Le chemin le plus court vers l’homéostasie est la nature, paradoxe là aussi, car cette dernière n’est pas tendre.
Malgré tout le noyau sain de chacun peut entrer en résonnance avec une nature respectée et apprivoisée.
C’est gratuit, et ça ne demande à priori pas trop de chemin à faire, pas de tutos, et pourtant ce n’est pas toujours à notre portée.
En attendant, parcourons un bout de chemin avec quelques témoignages photographiques de ces derniers mois.
Premier chemin
Lumière, transparence et reflets
Une lumière douce est une apothéose capable de sublimer les abords d’un simple canal.
Cette aigrette à été la plus rapide, je cadrais sa position perchée à l’origine, mais on ne va pas se priver pas d’une dynamique d’envol…
Formes et couleurs
J’ai été ravi de redécouvrir cette petite fleur des bords d’eaux(balsamine des bois) qui ne possède guère de spots importants, dans la connaissance que j’ai de mon environnement proche.
Cette belle chenille de sphinx est extrêmement rapide au point qu’il y a été difficile de l’immortaliser.
Deuxième chemin
Nuances florales
Fleurs blanches de sureau et fleurs bleues de vipérines
La Benoîte commune était autrefois un des ingrédients de la cervoise.
Couleurs
Les baies de la Douce-amère, qui est un sous-arbrisseau.
Difficile de rater l’orange pétant de ces champignons pas toujours favorables aux arbres qu’ils dévorent parfois.
Derniers chemins
Par la terre et par l’eau
Partons en chemin.
Cette année la Loire est bien basse.