Feuillages d’automne

Vert, or, vermeil et oriflammes,
Le promeneur s’y pâme,
L’étendard est levé,
C’est l’automne à l’orée.
Dans le silence de la forêt

Dans la forêt profonde, le temps semble s’arrêter,
Il flotte un parfum de mystère, promesse de secrets,
Où le soleil souligne un chemin doré,
Respirons la forêt, et laissons-nous porter.
Du sauvage au divin
Au fil de l’eau, au cœur de l’histoire

Là où la Loire grave ses paysages dans la roche,
Le temps s’écoule, tantôt paisiblement, tantôt avec rage,
Hommes et nature ne sont que de passage.

