Le pollen le plus petit est celui du myosotis et le plus gros celui de la courge, du microscopique au minuscule la taille du pollen est variable.
Dès la fin du 19e siècle le microscope optique permettait d’observer les plus gros grains de pollen:
Aujourd’hui ce sont les microscopes électroniques à balayage qui observent l’infiniment petit:
Essentiel à la fécondation de ce qui sera la future graine, le pollen est produit en masse par les plantes, d’où la difficulté d’échapper à l’allergie qui peut sévir.
C’est aussi une étude: la palynologie.
Et un autre champ complémentaire à explorer pour certains photographes, les « micronautes ».
Voila, c’était une courte présentation d’un autre aspect de la nature caché à nos yeux, mais non dénué de richesses.
A lire, l’article du national geographic de décembre.
A voir, des images non colorisées de grains de pollens, sur le site du darmouth college.
A contempler, les photos exceptionnelles en couleur du site Micronaut.ch.