De l’ombre à la lumière
Mois de mars, une dizaine de jours avant le printemps, le sanctuaire des cygnes baigne dans une obscure clarté à la « Rembrandt ».
Avril, plus de doute, le printemps est là, les premières printanières pointent leurs pétales, comme la cardamine des prés.
Les cigognes se rassemblent en couple sur leurs nids et craquètent.
Fleuve et forêt
Les tapis blancs des anémones sauvages embellissent la forêt bien avant que les arbres ne déploient leurs feuilles.
La jonquille, fleur lumineuse et solaire, que l’on peut trouver dans les bois.
La Loire, aux bords sableux, grèves caillouteuses qui souvent ravine les prés.
La ciboulette sauvage apprécie le calme de l’entrée de ce bras de Loire.
Cigogne a fait son nid
Il me semble bien que ce nid là a été reconstruit, ce n’est pas l’endroit le plus sûr, l’arbre à été foudroyé plusieurs fois.
Ce n’est pas encore la couvée, mais d’ici les orages d’été, les futurs petits seront bien loin.