La rentrée c’est aussi celle des sorties nature, des fêtes de la nature, bien sûr c’est aussi la tradition des récoltes et des vendanges qui rappelle encore quelques heureux souvenirs aux plus anciens d’entre nous qui regrettent un passé révolu où le crédo, par nécessité, était un peu moins celui du « chacun pour soi », sans trop de télévision et sans ordinateurs. Et il est vrai qu’à la vue du contraste entre les maisons de campagne qui disparaissent sous la végétation et celles immenses qui se construisent, résolument modernes mais totalement dénouées de tout signe de vie il serait légitime de se demander si l’on ne se dirige pas vers un monde aussi extrême et variable que le climat !
Soit, l’évolution est changement et nous ne pouvons tout contrôler, la nature fût même est sujette aux aléas des ères, grandes extinctions, grandes diversités, grands organismes…
Une des choses qui ne risque pas de changer entre autre notre détermination à survivre, c’est notre émerveillement devant le réconfort qu’apporte une nature belle et paisible!
La gousse épineuse enroulée en spirale est une curiosité caractéristique de la luzerne d’arabie.
Cet azuré possède une petite queue sur ses ailes postérieures, mais lequel est-ce?
Le paon du jour attire facilement le regard.
Le nacré (de la ronce probablement) porte bien son nom, puisque les formes blanches de ses ailes postérieures peuvent briller comme de la nacre.
Qui aurait cru qu’il s’agissait d’une hespérie, de la potentille.
La phycitine est une bien jolie… mite!
La morelle ne peut être définitivement identifiée qu’à la couleur de ses baies, ou du moins c’est plus pratique ainsi. Et si la fleur vous rappelle quelque chose c’est qu’elle appartient au genre Solanum celui qui comprend les pommes de terres et la fameuse douce-amère.