Des livres pour s’instruire ou se divertir.
C’est probablement le genre de livre que l’on aimerait posséder sur une ile déserte.
Même si ce n’est pas un guide de survie à proprement parlé mais plutôt une méditation curieuse.
Comme une tentative de trouver une alternative saine et écologique, le manuel de la vie sauvage d’Alain Saury est pour le moins surprenant.
Dans une montagne japonaise, une forêt entoure une grande maison en bois, c’est dans cette atmosphère paisible que s’amorce le retour à la nature de Frédérick Carnet, ex photographe de pub.
Quand l’appel de la nature résonne comme le souffle d’une quête de vie, le voyage du photographe devient un périple riche, brave et essentiel.
C’est aussi artistiquement, une renaissance, le retour à la simplicité du noir et blanc, à l’argentique, aux vrais échanges humains.
Entretiens sur Nippon 2011, le témoignage de cette aventure à travers des photographies prises en toute liberté sans contraintes ni artifices dans un Japon meurtri.
On imagine rarement que derrière une photographie se cache un photographe, qui a un esprit, un coeur, des bras et même des jambes.
Il était donc temps de dévoiler l’homme en action, jonglant entre la technologie la plus moderne et les astuces les plus simples, mais ô combien pratiques.
Si vous hésitez à prendre des photographies, si vous ne savez pas par quel bout prendre le problème, sachez qu’il n’y a que des solutions, et que ce billet est la porte de toutes vos espérances, même les plus folles.
Aviez-vous tout petit un fascinant livre sur la nature avec de multiples astuces et autres informations précieuses ?
La collection « forêt vivante » est une sorte de bible en la matière qui rappellera bien des souvenirs aux plus grands et bien des surprises aux plus petits.
Description de la faune et de la flore et conseils pratiques, comment utiliser une boussole ou comment observer la faune microscopique, fabriquer un filet à insectes pour l’observation, etc.
Quand les dessinateurs laissent exprimer la bête qui sommeille en eux, les crampes de zygomatiques ne sont guère loin.
Qu’ils dessinent comme des bêtes ou rigolent comme des baleines, leur objectif n’est pas de faire couler les larmes du crocodile, mais bien celles de leurs lecteurs.
Alors si par ce temps de chien vous avez une faim de loup, n’hésitez pas à mordre ces bandes dessinées, le risque est de se fendre la poire et au pire de mourir de rire.