Sous les acacias

Si le printemps est généreux, la météo l’est moins, la faune et la flore sont en avance sur le calendrier et il en résulte une belle activité dans la nature.
Mais la pluie, les orages, le manque de luminosité sont les ennemis du photographe.
Malgré tout, heureusement, même ponctuellement, on peut croiser bien des choses surprenantes sous la pluie de pétales d’acacias.
Perception

Ça ressemble au titre d’une série américaine mais ce n’est pas ça, je rassure le lecteur.
C’est une suite au billet Flos se aperit dans un point de vu moins sociétal.
Et tout est parti d’une simple question : pourquoi le spectre de la lumière visible est-il calibré dans certaines longueurs d’onde et pas d’autres ?
Je n’en dirais pas plus, bonne lecture à travers ce petit théorème du « quoi-qu’en-sais-je ».
Fleurs d’aurore

Odeurs discrètes et florales dans un air doux et frais, le printemps se pâme et dore ses prés.
Les fleurs fragiles et éphémères du prunelier disparaissent déjà quand d’autres apparaissent.
Le lézard prête le flanc à la moindre chaleur solaire et les aigrettes s’envolent.
Bois et jonquilles

Fraicheur boisée pour cette série qui prend un petit peu de recul sur son environnement afin de révéler le milieu tel qu’il est abordé.
Je voulais montrer cette fois la densité florale de la forêt au printemps, imperceptible en gros plans.
Une forêt qui n’a pas encore totalement reverdi, mais qui regagne progressivement une animation qui fait tant de bien, en sortie d’hiver.
