Il y a parfois des sujets qui nous touchent, ce fût le cas un jour quand je regardais un documentaire sur les Penan, un groupe de nomades chasseurs-cueilleurs de Malaisie. Il s’agissait à l’origine du travail d’un linguiste canadien, Ian Mackenzie, qui s’est finalement passionné pour leur cause. Les Penan ont environ 2000 mots pour parler des arbres et des plantes forestières, ils sont très intimes avec leur environnement. Mais l’univoque civilisation les menacent et c’est franchement détestable de constater qu’à notre époque la différence d’un mode de vie et d’une culture peuvent être autant ignorés et injustement non respectés.
Une association se bat pour la survie des peuples indigènes et fête ses 40 ans, et à cette occasion un concert est organisé le lundi 23 novembre à 20 heures au théâtre de l’Européen.