Une culture grecque sur une péninsule italienne, ça n’a rien d’extraordinaire et pourtant cette particularité a donné naissance à un style assez original qui peut encore fasciner.
Les Étrusques, ou Rasenna sont un peuple antique qui sera assimilé par la République romaine.
La représentation d’animaux, beaucoup plus habituelle que l’on pourrait le penser dans ces peuples antiques est fascinante et étonnement aussi présente dans cette culture.
Le rouge-gorge donne un concerto au faite du bouleau, le ciel est bleu, la chaleur solaire diminue au fil de la journée.
Dans les friches, les coquelicots, les pensées et les bleuets sont encore en fleurs lorsque les champignons poussent.
En fin novembre, les feuilles tombent et les arbres prennent enfin des couleurs d’automne.
Les derniers épis de maïs remplissent encore les champs d’octobre nimbés de douceur automnale.
C’est aussi l’ouverture de la chasse, le peu d’espèces-gibier qui subsistent est mis sous pression.
Malgré tout, qu’ils soient sauvages ou domestiques les animaux sont les esprits de la nature, croiser leur chemin est toujours source de surprises, ou d’émerveillement.
À travers étangs et forets, la Loire crée parfois des bras à part, loin d’être morts, ils forment un refuge aux animaux.
Sous les silhouettes des osiers, et dans l’ombre des plantes aquatiques se cachent de toutes petites grenouilles.
Non loin de là fougères et bruyères forment le portillon d’un paysage plus forestier.
Après les migrations estivales humaines, un esprit écureuil domine cette période de rentrée.
Les fruits ont muri, les premières feuilles tombantes sont aussi sèches que les barbecues remisés.
Et pourtant les rosiers et les pissenlits refleurissent, la douceur est cet âge mûr qui a survécu et qui vit encore.
La floraison de la petite centaurée et la rougeur des cenelles sont les indices discrets d’un mois de septembre tendre, profond, et complexe.