On connait les conséquences dramatiques du froid sur les hommes et en observant les animaux on se demande comme ils survivent à cette chute des températures.
Prenons un exemple d’oiseau sauvage que nous pourrions croire invincible, voir la bécasse des bois sur le blog 1000-pattes de Noushka, on peut s’apercevoir que sa survie est précaire en raison de son alimentation principalement constituée de vers de terre. Logiquement sa chasse est suspendue dans certains départements.
Malgré tout les oiseaux grâce à la protection thermique de leurs plumes et de leur graisse sous-épidermique sont bien protégés du froid et c’est tout un métabolisme qui participe à cette résistance au climat.
Le renard roux doit probablement survivre à des températures de -40° quand le renard polaire survit à -80°.
En revanche les animaux exploités et principalement leurs petits s’adaptent difficilement aux températures négatives et contrairement à ce que l’on pourrait croire à travers une partie de la presse écrite et télévisée ils ne sont pas tous au chaud dans les étables…
Le soleil faisait de timides apparitions cette journée-là. La ligne blanche est la frontière entre le bord gelé et le milieu du fleuve.
Un cygne remonte le courant pour mieux se laisser porter par lui ensuite.
Les Bernaches du Canada surprises dans leur bruyante intimité.
Cette fois je suis repéré, malgré ma position située derrière des branches impossibles à écarter sans faire de raffut. Le colvert lui n’est pas plus impressionné que ça par le départ de ses voisines du Canada.
Une colonie de cygnes passent devant un groupe de canards.
Un paysage avec des couleurs typiquement hivernales aux tons doux et pastel.
Au froid dur, gardez les pattes au chaud !