Comme dans le poème de Théodore de Banville, le sauvage été brille et brule, sur les horizons bleutés, mais le vent lui apporte la douceur d’une atmosphère de bord de mer, les martinets noirs à la place des mouettes.
Crêtes et épis
La lumière du soir apporte encore plus de chaleur à un champ de céréales déjà très doré.
Que seraient nos champs sans les flamboyants coquelicots pour les rehausser d’une touche d’une couleur vive.
Le coquelicot doit son nom à la crête du coq, de la même couleur. L’épi de blé est le porteur de grains précieux, sa consommation remonte à l’antiquité.
Trois fleurs
Les pensées des champs sont blanches, parfois elles deviennent tricolores avec un bleu lavande. Les coquelicots semblent si fragiles, et leurs fleurs se succèdent à un grand rythme.
Pensée et vesce à épis
Cette pensée là à un bleu presque violacé. La vesce craque est d’un superbe violet pourpre, on l’appelle aussi pois à crapaud.
Au bord de l’eau
Les noix, dans leur gangue verte, sont déjà bien formées.
La demoiselle aime se poser sur des herbacées au bord des chemins.
La coronille est une très jolie légumineuse aux fleurs blanches et roses. On discerne les fruits du noyer à travers le feuillage.
Deux arbres surplombent le paysage sur un monticule aux multiples dénivelés.
Le vent transporte le coton des peupliers comme une neige duveteuse.
Profitez, bon été !