Pensée pour un hérisson
Odeur de terre mouillée, douce lumière solaire sur le visage.
Une marche entrecoupée par des ombrages de fraicheur et de gouttes d’eau sautillantes des branches au moindre souffle de vent.
Toujours le chant du coucou, et parfois des cris d’animaux, au loin dans la forêt.
Des canards s’envolent sur l’étang, toujours entre deux averses, c’est la fin du mois de mai.