Remettre en question ses propres croyances, faire face à des vérités dérangeantes.
Voilà des défis impossibles à aborder sans une bonne dose de courage.
Il y aura des blessures, c’est sûr, sinon ce ne serait plus un véritable apprentissage.
Mais au travers d’une réflexion sincère, à défaut de trouver des solutions parfaites, nous éclaircirons la portée de nos valeurs à l’aune de la réalité.
La plupart des œuvres philosophiques enrichissent notre connaissance, mais l’ignorance de ces idées est-elle préjudiciable ?
Si nous n’avons besoin que d’un toit et d’un couvert et d’autre chose, tout cela ne devient-il pas superflu ?
Sortir de la caverne, c’est entrer dans le monde de Sophie.
La caverne, cette métaphore de Platon, symbolise dans un sens le préjugé.
Que peut-on obtenir en dépassant cela, si ce n’est de conserver notre étonnement.
Afin de profiter pleinement de ce monde, sans être borné par ses fausses apparences.
Pourquoi nous ne intéressons pas à qui nous sommes et pourquoi nous vivons.
Quels tabous peuvent bien se loger là.
Nul besoin de le savoir pour vivre peut-on répondre.
Pas de temps à perdre.
Exact ?
Une perspective primitive est un bon complément de la psychosociologie pour offrir les clés d’un décryptage des comportements contemporains.
Afin de retrouver les pistes d’une ferme mansuétude que l’on tend trop à préserver des troubles des temps, dans notre virtualité.