« Et je suis là. Je n’ai ni souhait, ni rancune;
Mon coeur s’en est allé de moi, puisque ce soir
Je n’ai plus le pouvoir de mes grands désespoirs,
Et que, paisiblement, je regarde la lune. »
« Le regard détourné, l’âme puissante et rude,
Je montais vers ma paix et vers ma solitude !
Nature, accordez-moi le plus d’amour humain,
Le plus de ses clartés, le plus de ses ténèbres,
Et la grâce d’errer sur les communs chemins, »
AU PAYS DE ROUSSEAU – UN SOIR EN FLANDRE, Anna Élisabeth de Brancovan, Comtesse de Noailles (1876-1933)
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