À travers étangs et forets, la Loire crée parfois des bras à part, loin d’être morts, ils forment un refuge aux animaux.
Sous les silhouettes des osiers, et dans l’ombre des plantes aquatiques se cachent de toutes petites grenouilles.
Non loin de là fougères et bruyères forment le portillon d’un paysage plus forestier.
Fraicheur boisée pour cette série qui prend un petit peu de recul sur son environnement afin de révéler le milieu tel qu’il est abordé.
Je voulais montrer cette fois la densité florale de la forêt au printemps, imperceptible en gros plans.
Une forêt qui n’a pas encore totalement reverdi, mais qui regagne progressivement une animation qui fait tant de bien, en sortie d’hiver.
Il est temps d’aller voir la forêt et d’interroger les arbres.
Scruter l’avenir dans les baies du gui, et demander au soleil un cygne.
Mais, l’harmonie est-elle cachée derrière ces vaguelettes ?
La tâche d’une blairelle est de pourvoir aux besoins de ses blaireautins.
Dans une forêt au graphisme minimaliste, entre art naïf et cubisme, et aux couleurs pastel.
Telle est la création originale et interactive d’un petit studio suédois, Might and Delight.
Étrange et fraîche saison que ce mois d’avril, les observations se font entre les giboulées, une sacrée douche froide après un mois de mars particulièrement chaud et sec.
Quelques apparitions viennent malgré tout apporter un brin d’originalité à travers ce ciel gris persistant comme le lucane dans un cadre où les premières fleurs printanières sont déjà sur le déclin.
Dans les champs aux pissenlits qui donnent cette saveur si particulière au miel et au lait, le cygne ne tardera pas à pondre les œufs d’avril, prochains cygneaux.