Quoi de neuf monsieur Zip dans la naturosphère ?
Et bien la chasse en cette période de l’année dérange un tant soit peu la faune qui cavalcade ci et là, lièvres, chevreuils et autres bêtes se découvrent mais ne se rendent pas.
Le dit-on ou mot-dit du jour :
Profiter de la douceur quand elle est là, compense de la douleur de quand elle n’est pas là.
L’arbre et en arrière-plan la montagne dite de mont.
C’est repos pour nos veaux.
La chevauchée sauvage.
Montures pour lunettes af! le loup, réduction pour les libellules.
Notre cygne qui êtes sur l’eau, qu’y a t-il de bon sous la surface ?
Louis Mangin était un grand botaniste, il affirmait au sujet de la protection de la nature qu’il fallait « concilier sa sauvegarde avec les transformations économiques qui s’imposent », et il dénonçait « la destruction désastreuse, même au simple point de vue pratique, d’incalculables richesses dont l’exploitation prudente devrait assurer la prospérité ».
C’était le 2 juin 1933, au cours du premier congrès international pour la protection de la nature.
Si Wikipédia dit vrai, voila de quoi nous mettre la honte sur notre statut d’écolos de la dernière heure, preuve encore que le temps d’une vie entière ne suffit pas à faire entendre la raison (du simple bon vieux sens) quand la raison du plus fort est et deviendra toujours la meilleure aux yeux des plus faibles.