L’œil du choucas

« Et dans le champ vermeil
Où s’épuise la sève,
Le lièvre blotti rêve
D’un laurier sans pareil ;
Et toujours en éveil
Il renifle sans trêve
Au soleil
Qui se lève. »

– Le petit lièvre, Maurice Rollinat.

« Un oiseau s’envole,
II rejette les nues comme un voile inutile,
II n’a jamais craint la lumière,
Enfermé dans son vol
II n’a jamais eu d’ombre. »

– Un oiseau s’envole, Paul Eluard.

Vous avez aimé cet article ? N'hésitez pas à le partager :

Dites moi ce que vous en pensez

  1. Quelle fraicheur dans toutes ces photos, on est bien loin de ce printemps mouillé en ce moment 🙂
    Tes coquelicots sont épatants, de superbes clichés dans ce post 🙂
    Merci pour tes visites!

  2. Hello Noush’, you !
    Oui ça doit bien faire un mois que l’on pas eu une goutte de pluie, on cuit, on va finir séchés comme des pruneaux.
    A bientôt, à moins qu’il ne reste plus que des crânes émergeant du sable ! 😀

Laisser une empreinte empreinte

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *