Lorsque la luminosité s’atténue au rythme des journées qui diminuent l’on devient plus sensible aux couchers de soleil qui peuvent nous surprendre par leur beauté. C’est lorsque la lumière est plus faible que l’on en apprécie plus les subtilités, que ce soit des reflets sur les ondulations de la surface d’une rivière ou la couleur rasante et chaude des rayons du soleil, tout est propice à mettre en valeur les volumes avant de les plonger dans l’obscurité de cette fin d’année.
La libellule, bien avant le grand froid, savourait encore les journées douces de l’automne.
Les campanules sauvages détonnent, dans un environnement champêtre plutôt uniforme.
La nature à repris ses droits au château de Faulin, à Grury.
Au loin le château de Montperroux, il constituait la vieille garde destinée à assurer la protection frontalière du duché de Bourgogne.
Les feuilles rouges de l’automne ornent le petit Robinson.
Une balade avec les copains, rien de tel pour se dégourdir les pattes.
L’écorce du tronc du platane est perpétuellement en croissance, d’où la perte de ses « écailles ».
Le soir aura toujours quelque chose de magique.
La civilisation, se distingue doucement de l’obscurité.