Jours brûlants


Après la candeur du début de l’été, la canicule brule, hommes et bêtes recherchent l’ombre dans la journée et sortent le soir à la fraicheur.
39° à l’ombre, la sudation s’accélère et pique les yeux, le paysage illumine.
Et pourtant la vie s’en suit, les moissons récoltent les blés bruns, les demoiselles se reposent sur les feuilles et les fruits murissent.

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Coquerico !


L’été des moissons dorées cache au bord des champs quelques fleurs sauvages éclatantes comme le coquelicot.
Devant les épis les pensées des champs sont tellement basses et discrètes qu’on pourrait encore même les ignorer à faible distance.
Une tempête de coton de peuplier parsème le ciel bleu de neige blanche et les premières noix murissent.

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Lézarder


C’est maintenant l’été, le vent fait onduler les champs, les prés et les grains commencent à dorer sous les rayons du soleil.
Un soleil joueur, mais lorsqu’il se montre il active une vie qui n’attend que sa chaleur pour éclore.
Le soir les nuages forment des volutes ou des formes plus épiques.

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Petits fruits sauvages


Les orages d’août sont passés et déjà c’est la fin de l’été, une lueur dorée auréole les fruits sauvages de septembre.
Les champs de trèfle ont séché, quelques fleurs de saison résistent encore, les papillons et libellules profitent de la douceur du temps.
Premières fraicheurs des soirées où les braises de l’été encore rougeoyantes nous rassurent et nous préviennent aussi de l’automne qui vient.

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Thermidor


Le soleil darde très tôt des rayons qui diffusent dans nos cellules une chaleur estivale.
Les hommes et la nature se reposent à la fraicheur lorsque l’astre descend sur l’horizon.
La nuit, on contemple les étoiles et on pense peut-être à cet autre paysage et à son étrange soleil couchant plus bleuté, plus petit, la planète mars attise notre curiosity et on rêve sous une pluie de perséides.
En soirée ou à l’ombre d’un bois, les curiosités sont toujours là.

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