Entre rainette et renard


L’air devient frais, entre rainette et renard,
Noix, marrons, feuilles et glands tombent, épars.
Ainsi à l’hiver se prépare, toute une petite faune,
Et la nuit se rapproche du jour, entre été et automne.

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Un petit bout de chemin


« C’est sur la peau de mon cœur que l’on trouverait des rides. Je suis déjà un peu parti, absent. Faites comme si je n’étais pas là. Ma voix ne porte plus très loin. Mourir sans savoir ce qu’est la mort, ni la vie. Il faut se quitter déjà ? Ne me secouez pas. Je suis plein de larmes… »
Peau d’ours, Henri Calet.

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De par le ciel


À travers étangs et forets, la Loire crée parfois des bras à part, loin d’être morts, ils forment un refuge aux animaux.
Sous les silhouettes des osiers, et dans l’ombre des plantes aquatiques se cachent de toutes petites grenouilles.
Non loin de là fougères et bruyères forment le portillon d’un paysage plus forestier.

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L’oeil amphibien


Entre les premières fraîcheurs automnales se glissent encore quelques journées chaudes et ensoleillées.
Dans les paysages ligériens, tous les signes du temps se retrouvent.
Et au-delà de la discrète et éphémère mare se cachent de rares fleurs qui ne se livrent qu’à l’observateur nature qui doit se hâter comme le lièvre, marcher rapidement, mais ouvrir les grandes oreilles, et grand les yeux.

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Œil d’or


Début septembre aura été chaud et humide, on a même pu observer de légères crues à la suite des pluies qui sont abondamment tombées.
De quoi ressusciter quelques mares où les libellules aiment s’y reproduire et pondre.
Ce qui fait aussi la joie des batraciens, car quelques sauterelles et petits insectes se sont retrouvés piégés par cette soudaine et abondante eau.
En forêt, on trouve ou non des champignons, c’est selon, malgré la précipitation, il faut savoir être patient dit-on.

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