A la lumière du crépuscule, l’été s’en est allé. Dans les chaumières, la littérature traite de mystères et d’enchantements, une part de rêve dans un monde où la vérité n’est plus une certitude absolue détenue avec autorité par une élite quasi divine, mais un point de vu modestement humain, définitivement relatif et dépendant des progrès tant idéologiques que techniques.
Quand le national geographic de ce mois traite des hauts lieux sacrés du monde, qui pense encore aux petits lieux qui ont enchantés nos prédécesseurs et qui nous entourent encore, forêts, sources, montagnes, etc.
La communication à grande échelle rapproche le distant mais éloigne de toute proximité et quand nos regards changent c’est la magie des lieux qui change aussi.