Jours brûlants


Après la candeur du début de l’été, la canicule brule, hommes et bêtes recherchent l’ombre dans la journée et sortent le soir à la fraicheur.
39° à l’ombre, la sudation s’accélère et pique les yeux, le paysage illumine.
Et pourtant la vie s’en suit, les moissons récoltent les blés bruns, les demoiselles se reposent sur les feuilles et les fruits murissent.

Lire la suite →

Coquerico !


L’été des moissons dorées cache au bord des champs quelques fleurs sauvages éclatantes comme le coquelicot.
Devant les épis les pensées des champs sont tellement basses et discrètes qu’on pourrait encore même les ignorer à faible distance.
Une tempête de coton de peuplier parsème le ciel bleu de neige blanche et les premières noix murissent.

Lire la suite →

Pensée pour un hérisson


Odeur de terre mouillée, douce lumière solaire sur le visage.
Une marche entrecoupée par des ombrages de fraicheur et de gouttes d’eau sautillantes des branches au moindre souffle de vent.
Toujours le chant du coucou, et parfois des cris d’animaux, au loin dans la forêt.
Des canards s’envolent sur l’étang, toujours entre deux averses, c’est la fin du mois de mai.

Lire la suite →

L’ange de nuit


Surprendre un lapereau, trouver des coquilles d’œufs et des papillons, débusquer les grillons qui chantent près de leur terrier, écouter le chant des oiseaux.
La fin du mois de mai est une ode pastorale.
Et lorsque le soleil se couche, apparait le petit ange de la nuit…

Lire la suite →

Le chant du coucou


Libellules, demoiselles, grenouilles vertes, insectes, la nature est hyperactive malgré une hygrométrie limitée.
Il n’est pas rare non plus de croiser lapins de garenne gambadant, lièvres et faisans.
On peut même rencontrer quelques cerfs-volants mâles.
Le mois de mai confirme une partie de ses dictions, floraisons des coquelicots, des bleuets, etc.
Le chant du coucou nous portera-t-il chance ?

Lire la suite →