« La grâce est toujours unie à la magnificence dans les scènes de la nature. » René de Chateaubriand
Un après-midi de début d’automne dans un champ, chaleur, mais légère brume.
Le lycopsis des champs est une toute petite fleur bleue qui ressemble aux myosotis, le coquelicot s’est invité.
Un champ de coquelicots nous fait rêver, en automne.
Ces champs sont une aubaine pour la biodiversité, de plus quoi de plus beau que ces parcelles de plantes messicoles, parfois oubliées !
Nounours le bourdon en approche finale, le coquelicot est si rouge, à ne pas confondre avec le pavot, plus pâle.
La benoite commune s’expose à la fraicheur d’un fossé et les baies de douce-amère ne rougissent pas de honte à côté des cenelles ou des cynorhodons.
Quand on se relève d’une haie après avoir capturé une macro, on peut tomber nez à nez avec une petite curieuse.
Ce coprin(radié?) est un tout petit champignon, non loin de là la stellaire des bois dans son habit de gouttes.
La morille du diable ou phallus impudique, n’a rien pour plaire, pourtant elle peut être consommé très jeune. Les mouches ont emporté la partie vert olive fertile puante qui recouvrait le chapeau du champignon.