Lumières et obscurités


A la lumière du crépuscule, l’été s’en est allé. Dans les chaumières, la littérature traite de mystères et d’enchantements, une part de rêve dans un monde où la vérité n’est plus une certitude absolue détenue avec autorité par une élite quasi divine, mais un point de vu modestement humain, définitivement relatif et dépendant des progrès tant idéologiques que techniques.
Quand le national geographic de ce mois traite des hauts lieux sacrés du monde, qui pense encore aux petits lieux qui ont enchantés nos prédécesseurs et qui nous entourent encore, forêts, sources, montagnes, etc.
La communication à grande échelle rapproche le distant mais éloigne de toute proximité et quand nos regards changent c’est la magie des lieux qui change aussi.

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Le temps d’un été


L’été indien est une bonne occasion de revenir sur une sélection estivale de photos macros et proxis.
Rien de tel que la chaleur de l’été pour photographier, car il nettement plus agréable de sentir la réflexion de la chaleur du soleil sur son boitier que le froid de son métal quand le temps est plus frais.
De plus la faune et la flore sont alors en pleine ébullition.
Alors voila des clichés qui peuvent nous remotiver, surtout en ce propice, fugitif et généreux début octobre : tempus fugit !

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Le sourire de la demoiselle


C’est en marchant à travers les herbes que l’on peut surprendre sans s’y attendre un papillon qui s’y repose. Le silène ainsi dérangé vole quelques mètres et plane, c’est un grand papillon difficile à photographier dans cet espace herbeux. Malgré une longue attente il n’a daigner quasiment jamais déployer ses ailes au sol.
Malgré cela c’est ainsi qu’ici, entre une rencontre rare, difficile et d’autres plus banales, on peut savourer un portrait mutin d’une demoiselle ailée.

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Œil d’or


Début septembre aura été chaud et humide, on a même pu observer de légères crues à la suite des pluies qui sont abondamment tombées.
De quoi ressusciter quelques mares où les libellules aiment s’y reproduire et pondre.
Ce qui fait aussi la joie des batraciens, car quelques sauterelles et petits insectes se sont retrouvés piégés par cette soudaine et abondante eau.
En forêt, on trouve ou non des champignons, c’est selon, malgré la précipitation, il faut savoir être patient dit-on.

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Le crépuscule augustien

sympetrum rouge

On le ressent bien dans notre locale mais vaste nature, le mois d’août sonnera le glas de certaines espèces de lépidoptères, de plus le paysage nous semble sec et les récoltes ne sont pas toujours de bon augure.
Suivant le mois le plus chaud de l’année, août n’est pas pour autant dépourvu d’une faune et d’une flore intéressante, les grenouilles sont toujours présentes, les sauterelles et certains animaux aussi, tels que le sterne qui n’hésite pas à pondre dans le gravier sableux.

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