L’ange de nuit


Surprendre un lapereau, trouver des coquilles d’œufs et des papillons, débusquer les grillons qui chantent près de leur terrier, écouter le chant des oiseaux.
La fin du mois de mai est une ode pastorale.
Et lorsque le soleil se couche, apparait le petit ange de la nuit…

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Chenille de machaon


Je ne recherche pas de papillons en particulier mais je note que jusqu’à présent aucun papillon machaon ne s’est glissé dans le champ de mon viseur. Ceci dit il ne suffisait pas d’aller bien loin pour trouver cette invitée du jardin lorgner sur les carottes.
Après la chenille d’un flambé, c’est une chenille de machaon et franchement je ne suis pas forcément très habitué à en voir même s’il s’agit d’un des papillons les plus populaires…
L’observer le temps d’une pose aura tout de même l’avantage d’imprimer dans ma mémoire cette forme et ces couleurs caractéristiques du stade 5 du développement du machaon.

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Le sourire de la demoiselle


C’est en marchant à travers les herbes que l’on peut surprendre sans s’y attendre un papillon qui s’y repose. Le silène ainsi dérangé vole quelques mètres et plane, c’est un grand papillon difficile à photographier dans cet espace herbeux. Malgré une longue attente il n’a daigner quasiment jamais déployer ses ailes au sol.
Malgré cela c’est ainsi qu’ici, entre une rencontre rare, difficile et d’autres plus banales, on peut savourer un portrait mutin d’une demoiselle ailée.

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Une petite violette ?

petite violette

Il arrive que lorsqu’on part en « chasse » de clichés de se demander pourquoi l’on tourne en rond, bien que le temps soit couvert et que certains accès à la faune et à la flore soient bloqués par une petite crue, une intuition nous pousse parfois à revenir au même endroit comme si l’on avait programmer une rencontre R à cet instant I. Certes ce n’est pas une découverte grandiose mais au premier coup d’œil je me disais bien que ce papillon là avait quelque chose de pas ordinaire, je savais alors que je ne l’avais encore jamais rencontré, qu’il s’agissait d’une rencontre rare, du moins pour moi.

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Œil d’or


Début septembre aura été chaud et humide, on a même pu observer de légères crues à la suite des pluies qui sont abondamment tombées.
De quoi ressusciter quelques mares où les libellules aiment s’y reproduire et pondre.
Ce qui fait aussi la joie des batraciens, car quelques sauterelles et petits insectes se sont retrouvés piégés par cette soudaine et abondante eau.
En forêt, on trouve ou non des champignons, c’est selon, malgré la précipitation, il faut savoir être patient dit-on.

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